Balade en montagne [LIBRE]

L'aube c'était à peine levée sur l'Alaska que Eden c'était mit dans la tête de monté sur le col de la montagne voir le paysge. Pourquoi se levé aussi tot ébien pour pouvoir assisté à un levé de soleil sur tout le pays, étant donné la violence de Eden le soleil au dessus des épaules autant profité de la nuit ou il est d'un calme incroyable.

Du pied de la montagne en 30 minutes le mâle noir était déja rendut à la moitier du chemin, plus que 45 minutes avant le levé du soleil le temps presse. Le sentier était de plus en plus abrupte et l'altitude commençait à géné Eden qui a une peur panique des troux sans fond. Pourant les rayons du soleil découvrait le sol montrant à Eden la terre ferme lui permetant de continuer son acenssion. Sautant sur les rochers qui entourent la montagne il s'amuse comme un petit fou, Eden était revenut à sa joie de ses années de louveteau en compagnie de ses amis. Ils s'amusaient aussi l'après-midi dans les montagnes à sauté de roche en roche.

Le col atteint Eden cherche un endroit ou voir tout le pays. Le mâle noir s'allonge la tête entre les pattes attendant gentiment l'aube pour voir les rayons du soleil traversés les pins réveillé la nature et les habitants d'Alaska ouvrirent les yeux et commencé la journée. La tête sur les pattes Eden réfléchissait à son avenir esque la voie de la haine et de la mort n'était pas la bonne solution. Un petit tas de neige tombat sur la tête de Eden lui recouvrant la tête des oreilles au museaux, il se secouat la tête pour l'enlevé et dit.

-"Oh toi la montagne j'ai le droit de m'allongé quand même ? rah la la les femmes."

Le loup noir se ralonge paisiblement et n'a plus qu'à attendre cinq petites minutes avant de voir se qu'il recherchait en montant la montagne

Le souffle court, les oreilles rabattues, le poil gelé de part et d’autre, la louve demeurait stoïque comme une statue de glace, contemplant l’étendue de la plaine encore baignée dans l’obscurité. Les montagnes semblaient elles aussi se complaire dans l’émerveillement de ce spectacle nocturne et silencieux. De temps à autre, quelques zéphyrs et alizées remontaient le long de leurs flancs, balayant ainsi de leur respiration glaciale toutes formes de vie tentant désespérément de se réchauffer par un quelconque moyen.

Peu à peu, le ciel se déclina en une palette de couleur passant d’un bleu roi profond au pourpre tirant sur une lavande rosée pour laisser place à quelques touches légère d’azur encore disparates. L’air marmoréen céda peu à peu sa place à un air moins dur, moins froid, un peu moite mais agréable, la caresse du vent n’était plus un calvaire et la lutte acharné du corps meurtrie par les engelures imminente contre l’esprit subjugué par la beauté du paysage allait bientôt pouvoir prendre fin.

Un loup à la fourrure sombre se mit à gravir avec agilité ces massifs enneigés malgré la dureté du terrain. Il s’avança le long d’un pic et se posa, contemplant à son tour la plaine. De la neige se trouvant sur quelques branches de sapin se situant à proximité se vit emportée par le vent et vint lui atterrir sur le museau. Il grommela, pestant contre la montagne.

La louve l’observait. Ce loup appartenait à sa meute, il était un peu colérique et sauvage, pas réellement mauvais. Il se construisait encore, et n’avait pas trouvé sa voie pour le moment.

Se relevant doucement, la louve s’approcha furtivement dans le dos de son congénère et s’assis à quelques pas de lui. Elle ne dit rien, le vent lui arrivait sur le museau par conséquent il ne l’avait pas encore sentie. Puis elle brisa le silence de l’aube d’une voix calme et d’une infinie douceur.

« - t’emporter contre la montagne n’empêchera pas le vent de souffler ni la neige de tomber… »