Greyback-Meneur des chiens de traineaux

- • Caractère (3 lignes minimum) :

Poser des questions est dans sa nature, il n'hésite pas à fourrer son nez dans nimporte quelle affaire qu'il soit légitime ou non, ce qu'il veut ? Des réponses, la vérité et il utilise tous les moyens possible et inimaginable pour exceller dans ce qu'il fait, ce qui lui apporte d'ailleurs toujours des ennuis. On pourrait donc qualifier ce jeune loup de déterminée. Sa curiosité maladive et son entetement à chercher ce qui lui est en apparence, hors de portée, lui a vallu de s'attirer les foudres de beaucoup de personne.Outre le fait qu'il soit curieux, Greyback est démesurémment courageux, on pourrait même qualifier cela d'Inconscience parfois, il n'hésite pas à suivre des malfrats, à se lancer à corps perdu dans des histoires qui le dépasse et à se mettre en danger,.Suspicieux : Oui il l'est à l'occasion avec les personnes qu'il ne connait pas, il s'est passé tellement de choses étranges depuis son arrivée que celà pousse Greyback à tirer des conclusions hatives sur certaines personnes et à la pousser à faire davantage de recherches afin de confirmer ses doutes ou à les démentir. Mais si on surpasse tout celà, on peut découvrir que Grey', malgrès le fait qu'il soit une eternelle pipelette, a un grand coeur et s'avère même être sensible. Ces traits de son caractère se révèlent surtout après une de ses nombreuses décéptions amoureuse, qui au fil du temps l'a poussée à garder une certaine distance vis à vis de la gente féminine lorsqu'il s'agit d'amour. La réaction la plus fréquente qu'il ait est la fuite, c'est tellement plus facile que de regarder les choses en face et de les affronter, ou de risquer de souffrir après une relation. Mais la fuite n'est pas sa seule arme de défense, l'ironie, le sarcasme et la taquinerie sont aussi de bons moyens d'établir une connexion avec quelqu'un sans pour autant entammer une relation sérieuse.. C'est ce qui d'ailleurs entraine une dynamique assez amusante autour de lui. En définitive, soyez honnête et sachez l'apprécier, et il vous le retournera surement.

- • Physique (2 lignes minimum) :

Greyback est un chien de haute taille et haute performence. Son pelage noir & blanc lui permet de ce protégé du grand froid qu'il l'attend. Il est plutôt muscler, mais ces normal pour un chien de trainaux. Grey' possède aussi deux yeux bleu magnifique et resplendissent.

- • Défauts (3) : Têtue-exentrique-froid
- • Qualités (3) :gentil-indépendant-mature



- • Histoire (Au moins 5 lignes) :

Ce que j'avais sur le coeur, mon très cher maître.

Un jour, je suis née, j'avais des frères et des soeurs auprès de moi. Puis tu a commencer à chercher ton chien, ton copain le plus malin. Alors tu a regardé tout les élevages existants au monde. C'est alors que tu ma trouvée sur un élevage très connus. Tu pouvais pas y croire, tu était émerveillé par ma beauté de bébé. Tu a tout de suite voulu me réservé, et se fut gagné. C'est alors que tu est venu me voir, tu était très heureux, cher maître. Je pouvais voir une flamme das tes yeux, une flamme immortel. Les jours passaient, et tu devenais impatient, tu avait acheté plein de jeux pour moi. Je grandissais, jusqu'à atteindre enfin mes trois mois. Ton jour le plus attendu fut arrivé mon maître, tu avait un collier que tu glissa autour de mon cou, avec le mot Greyback gravé dessus. Tu donna alors des petites feuilles verte à l'éleveur, et tu me prit avec avec toi. Tu m'avais mis dans le derrière de ta voiture, je pleurai pour être a coté de toi, mais tu ne voulais pas. C'est alors que tu me fis descendre et que tu me lâcha dans un drôles d'endroit appeler maison. Tu me laissa me promener et prendre mes repères. Plusieurs moi passait, tu tes mit à remuer un drôle de jouait. Très intriguer par cette chose, je suis venu pour mieux la regarder, je comprenais alors dans tes yeux doux, mon maître, que tu voulais simplement m'occuper en jouant avec moi. Je marchait dans ton jeux et attrapais ton jouait. La nuit venu, je tournais autour de ton lit, pour savoir se que tu faisait, tu me voyais tournée, tournée et tournée. Alors tu tapota ta main sur le lit pour me faire venir, et je suis venu. Tu n'arrêtais pas de me câliner et j'étais au ange, au paradis. Alors je compris que tu m'abandonnerai jamais. Un jour, tu est revenu avec quelqu'un a la maison, tu l'aimait, tu était très attaché à elle. J'étais content d'avoir un nouveau membre dans ma famille, mais malheureusement pour moi, ta femelle m'aimait pas. Une nuit, tu t'était mis à grimper sur elle et à faire l'acte que faisait les chiens pour se reproduire. Plus les jours venaient, plus vous devenez de plus en plus bizard, plus un temps pour moi. Il venu alors au monde, ce petit bipède, dont les 9 mois passé avait été dur pour toi. Il grandissais lui aussi, mais tu me laissais de coté, le seule temps que tu avait pour moi c'était la promenade qui c'était réduits en temps. Le petit bipéde criait, je voulais l'approcher, mais ta femelle me l'interdisait. Un beau jour, ton enfants jouait avec mes jouait. Je n'était pas d'accord, et pour lui faire comprendre, je lui avait mordiller le bras. Mais il se mit a crier et faire couler de l'eau de ces yeux. Je me demandais se qui lui arrivait, alors je m'était mis a lui lécher le visage, mais tu arriva furax, et en un éclair tu me poussa violemment contre un mur, d'où javais été brutalement sonné. C'est alors que tu arriva avec une laisse. Je vis dans tes yeux, mon très cher maître, la méchanceté. Je croyais qu'on allait promener, alors je remuait la queue, comme tout bon chien. Je regardait le paysages à travers les carreaux, si magnifique, un moment partagé avec toi, mon maître, mais tu regardait ton volant, attaché dans les profondeurs de la route. Tu t'arrêta soudain sur la route, tu m'ouvris la porte sans me regarder, et tu m'attacha à un arbre. Je croyais que tu jouais, alors je te laissais repartir dans ta voiture. Je n'attendais, que toi, que tu surgisse au milieu de nul part, pour mettre fin au jeux, mais je ne te voyais jamais surgir. J'étais la, dans le froid de l'hiver, à t'attendre mon amis, mon compagnon. Mais je compris alors que tu reviendrai jamais. Cette méchanceté dans ton regard était l'abandon, d'une petite chienne sans défense. Ma larme se versa sur le sol tapisser pas la neige blanche. Je t'aime mon maître, je t'aimais.